
Sur le plan politique, nous vivons une époque de vache maigre, de grand déficit idéologique,pour résoudre cette crise profonde que nous vivons dépuis plus 4 ans, tant à gauche qu’à droite de l’échiquier politique.
La politique a changé par rapport aux années 1960, 1970, 1990, du point de vue technologique. Les partis politique sur la scène d’aujourd’hui sont à la traine, à quelques rare exception comme le parti EDE de l’ancien Premier Ministre Claude Joseph.
Les dirigeants politique d’aujourd’hui le pensent avec les mêmes instruments conceptuels qu’à l’époque de mon grand père Delmond Lafond des années 60, tout comme, symétriquement, nous devrions éviter de lire l’histoire même très proche à la seule lumière du présent.
Les années 1960 et le début des années 1970 ont apporté, dans le monde occidental, d’immenses transformations, dont certaines furent imposées par de puissantes mobilisations sociales de base.
Mais les évolutions qui ont suivi ne se sont pas inscrites dans leur continuité directe. De nouvelles formes du politique sont apparues, et nous devons les appréhender, et surtout dans ce qu’elles peuvent présenter de radicalement neuf.
À l’ère des médias sociaux et la transition exclusive de médias en ligne, le Parti politique les Engagés pour le development (EDE) faire la difference, malgré quelques faiblesse a pouvoir s’informer de leurs idées politiques claire et nette, sans biais, mais ils sont parmis ceux dans la caraïbe et dans l’amérique latine comme parti politique qui utilisent adroitement cette transition exclusive de media social comme arme de communication puissante .
Ce Parti Politique (EDE) reste l’un des partis les plus dynamiques actuellement en Haïti. Alors que la situation sécuritaire se détériore dans le pays, la structure politique ne chôme pas. Elle est à l’initiative de nombreuses activités, telles mouvement fanm, Mouvman Atis, « Klewonnen angajman w » des causeries entre Les jeunes universitaires, campagne sanitaire dans les camps des déplacés dans la zone métropolitaine de Port- au- Prince, creations du club d’échécs ect…
Haïti ne semble pas voir la fin du tunnel. La crise multiple que traverse le pays ne fait que s’amplifier, une insécurité généralisée ,alimentée par les gangs, mais l’espoir n’est pas éteint.
Laisser un commentaire