Le leader politique, journaliste senior et ancien candidat à la présidence Clarens Renois préconise la réduction du conseil présidentiel de transition de 9 à 3 membres quant à la suite de la transition politique. Intervenant à l’émission le Rendez-vous avec Volcy Assad le mardi 12 novembre 2024, il se dit favorable à la mise à l’écart des 3 membres du conseil impliqués dans le scandale de corruption ainsi que les 2 membres observateurs du CPT.
Clarens Renois s’est prononcé sur la suite de la transition à la suite de la révocation du PM Garry Conille remplacé par Alix Didier Fils-Aimé. Il s’est montré en faveur de la réduction des membres du conseil tout en priorisant l’intérêt supérieur de la nation.
Le leader politique, journaliste chevronné et ancien candidat à la présidence, Clarens Renois, a donc pris position en faveur d’une réduction significative du Conseil Présidentiel de Transition (CPT), suggérant de ramener le nombre de membres de neuf à trois. Cette proposition vise à optimiser le processus de transition politique en cours dans le pays.
Lors de cette intervention à l’émission Le Rendez-vous animée par Volcy Assad, le mardi 12 novembre 2024, Clarens Renois a mis en avant l’urgence de réformer le CPT. Il a explicitement recommandé la mise à l’écart des trois membres actuellement impliqués dans des scandales de corruption, ainsi que des deux membres observateurs, pour favoriser une transition plus transparente et efficace.
Cette déclaration intervient dans un climat politique tendu, marqué par la révocation du Premier ministre Garry Conille, récemment remplacé par Alix Didier Fils-Aimé. Face à ces bouleversements, Renois insiste sur la nécessité d’une restructuration du CPT en vue d’accélérer le processus de transition, tout en mettant l’accent sur l’intérêt supérieur de la nation.
En prônant une réduction du CPT à seulement trois membres, Clarens Renois cherche à garantir une gouvernance plus restreinte mais plus efficace, capable de répondre aux défis actuels du pays. Cette suggestion s’inscrit dans un effort pour renforcer la crédibilité et l’intégrité des institutions de transition, en écartant les individus dont l’intégrité est mise en doute.
Pour Renois, cette réduction permettrait non seulement d’assainir l’image du Conseil, mais aussi de faciliter la prise de décisions cruciales pour la poursuite de la transition politique.