
Dans une sortie virulente sur les réseaux sociaux, Claude Joseph s’en est pris à Métronome, qu’il accuse de dérives politiques et médiatiques. Selon lui, le parti Métronome et la formation EDE ne jouent pas dans la même cour.
L’ancien ministre affirme que Métronome se transforme en média mendiant, usant du chantage pour obtenir des postes auprès de conseillers présidentiels et de ministres. À l’inverse, EDE aurait pris ses distances dès le départ, appelant à la démission du CPT lorsque ses membres ont trahi leurs engagements.
Claude Joseph estime que Métronome n’a jamais atteint un tel niveau de ridicule. Il pointe du doigt Jean Corvington, qu’il qualifie de charlatan, et l’accuse d’avoir perdu le contrôle après une gestion désastreuse des fonds de la diaspora.
Depuis la perte de la direction générale stratégique, Corvington serait animé par une rage incontrôlée. Il s’en prend désormais à tout ce qui se trouve sur son passage, selon Claude Joseph.
Tant que Métronome bénéficiait des privilèges du CPT, tout semblait parfait, affirme-t-il. Mais une fois ces avantages perdus, le média aurait changé de ton et réclame bruyamment le départ du Conseil qu’il soutenait auparavant.
Claude Joseph rappelle que Métronome attaquait déjà EDE à l’époque, car le parti refusait de se taire face à l’échec du CPT. Il insiste sur la différence de posture : Métronome défend un poste, EDE défend une vision politique.
Pour lui, EDE incarne un projet ancré dans l’histoire, tandis que Métronome agit par intérêt personnel. Il conclut en affirmant que l’échéance du 7 février 2026 doit être respectée.
La Rédaction
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