
La Coordination Nationale de EDE Secours monte au créneau à travers une lettre adressée au ministre de la santé publique et de la population. Face à une flambée de cas de choléra et de gale dans plusieurs camps de déplacés internes situés dans le département de l’Ouest, l’organisation tire la sonnette d’alarme et adresse une lettre ouverte au ministre de la Santé Publique, Dr Sinal Bertrand, pour exiger une réponse rapide et structurée à cette crise sanitaire silencieuse qui gagne du terrain.
Selon les observations de cette structure dans structure dans la partie politique, plusieurs camps accueillant des centaines de familles déplacées vivent dans des conditions d’extrême insalubrité : manque d’eau potable, absence d’assainissement, promiscuité alarmante. « C’est un terrain fertile pour toutes les maladies infectieuses et parasitaires », prévient la lettre signée par Dr Marie Phara Ambroise, coordonnatrice nationale de EDE Secours. L’absence d’une prise en charge médicale adéquate renforce la vulnérabilité de ces populations déjà fragilisées par l’insécurité et la précarité.
EDE Secours dénonce un « silence incompréhensible » de la part du ministère de la Santé et appelle à « sortir de l’inaction » pour prévenir une explosion épidémique aux conséquences irréversibles. L’organisation insiste sur l’urgence de la situation et interpelle les autorités pour qu’elles assument leurs responsabilités devant ce qu’elle qualifie de « bombe sanitaire à retardement ».
En outre, dans sa lettre adressée au ministère, l’organisation formule une série de recommandations concrètes : reconnaissance officielle de l’état d’urgence sanitaire, création immédiate d’une cellule de crise intersectorielle, renforcement de la surveillance épidémiologique communautaire et déploiement d’une réponse médicale adaptée incluant traitements, solutés, antibiotiques et produits d’hygiène.
« Nous ne pouvons pas rester spectateurs alors que des enfants, des femmes enceintes et des personnes âgées meurent lentement dans l’indifférence », alerte EDE Secours.
Consciente de la complexité de la situation, EDE Secours propose d’apporter sa contribution. L’organisation met à la disposition du Ministère de la Santé une équipe multidisciplinaire composée de médecins, d’infirmiers, de techniciens en santé communautaire et d’experts en santé publique, prêts à intervenir immédiatement. Dans la lettre EDE Secours écrit, seule une réponse concertée et humaine pourra éviter une catastrophe.
« Le choléra n’attend pas, la gale ne fait pas de pause. C’est maintenant qu’il faut agir, pas demain. Le pays a déjà trop perdu. »
Dans un pays où les crises s’enchaînent, celle-ci pourrait être évitée si une réponse rapide et humaine est mise en œuvre. À travers cet appel, EDE Secours rappelle une vérité simple mais essentielle, chaque vie compte.
Selon les observations de cette structure dans structure dans la partie politique, plusieurs camps accueillant des centaines de familles déplacées vivent dans des conditions d’extrême insalubrité : manque d’eau potable, absence d’assainissement, promiscuité alarmante. « C’est un terrain fertile pour toutes les maladies infectieuses et parasitaires », prévient la lettre signée par Dr Marie Phara Ambroise, coordonnatrice nationale de EDE Secours. L’absence d’une prise en charge médicale adéquate renforce la vulnérabilité de ces populations déjà fragilisées par l’insécurité et la précarité.
EDE Secours dénonce un « silence incompréhensible » de la part du ministère de la Santé et appelle à « sortir de l’inaction » pour prévenir une explosion épidémique aux conséquences irréversibles. L’organisation insiste sur l’urgence de la situation et interpelle les autorités pour qu’elles assument leurs responsabilités devant ce qu’elle qualifie de « bombe sanitaire à retardement ».
En outre, dans sa lettre adressée au ministère, l’organisation formule une série de recommandations concrètes : reconnaissance officielle de l’état d’urgence sanitaire, création immédiate d’une cellule de crise intersectorielle, renforcement de la surveillance épidémiologique communautaire et déploiement d’une réponse médicale adaptée incluant traitements, solutés, antibiotiques et produits d’hygiène.
« Nous ne pouvons pas rester spectateurs alors que des enfants, des femmes enceintes et des personnes âgées meurent lentement dans l’indifférence », alerte EDE Secours.
Consciente de la complexité de la situation, EDE Secours propose d’apporter sa contribution. L’organisation met à la disposition du Ministère de la Santé une équipe multidisciplinaire composée de médecins, d’infirmiers, de techniciens en santé communautaire et d’experts en santé publique, prêts à intervenir immédiatement. Dans la lettre EDE Secours écrit, seule une réponse concertée et humaine pourra éviter une catastrophe.
« Le choléra n’attend pas, la gale ne fait pas de pause. C’est maintenant qu’il faut agir, pas demain. Le pays a déjà trop perdu. »
Dans un pays où les crises s’enchaînent, celle-ci pourrait être évitée si une réponse rapide et humaine est mise en œuvre. À travers cet appel, EDE Secours rappelle une vérité simple mais essentielle, chaque vie compte.
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